L’empreinte carbonique du web

mmmmCéline Dion

Impossible de se passer du web, moyen de communication et d’échange le plus efficace. Mais gardons à l’esprit que chaque « clic », « j’aime » et autres, laissent des empreintes carbones non négligeables, par exemple, deux requêtes sur Google = bouillir l’eau d’une bouilloire.

Soucieux de la quantité d’énergie nécessaire au bon fonctionnement de leurs serveurs Facebook et Google ont apporté les changements nécessaires à leurs infrastructures afin de limiter au maximum leur empreinte carbonique. Facebook, par exemple, a installé les serveurs dans le désert de l’Oregon, afin de profiter de la chaleur du jour pour puiser l’énergie, et de la fraîcheur des nuits pour refroidir ses serveurs .

Quant à Google, leurs serveurs sont situés en Finlande, et se sert d’un réseau de tunnels préexistants qui permet de pomper les eaux froides de la Baltique pour alimenter des échangeurs de chaleur, en contact avec un deuxième circuit qui part refroidir ses ordinateurs. Selon la chaîne de télévision CNN, lorsque toutes les fermes de serveurs de Google opèrent à plein régime, elles utilisent assez d’électricité pour faire fonctionner toutes les maisons d’une ville comme San Diego.

Donc, utilisons le web dans le respect de l’environnement en se demandant si les données, tant en amont qu’en aval, valent leur empreinte carbonique.

Céline Dion

10 réflexions sur « L’empreinte carbonique du web »

  1. On n’est pas toujours conscient de toute l’énergie que l’on prend en naviguant et en utilisant la messagerie, très bon à savoir.

  2. On économise aussi beaucoup de déplacements en automobile grâce au Web et on peut mieux planifier ceux que l’on fait quand même. Dans le cas du Web comme des déplacements, la modération est de mise. Comme me disait souvent mon père, « ce dont on n’a pas besoin coûte toujours trop cher. »

  3. Merci beaucoup de le faire savoir. (je boirai un café de moins pour compenser ce mot).

    Réjean Daigle

  4. On apprend à tous les jours c’est certain, mais celle là, je ne l’aurais jamais imaginée. Doit-on aviser tous nos contacts ?

    Bonne journée.

    1. Bon point Gilles. Peut-être leur partager les liens sur le sujet. Ils pourront faire leur propre mea-culpa. Moi, j’ai partagé sur Facebook durant la semaine de la conférence sur le changement climatique.

      Céline D.

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