C’est bien connu, pour la plupart d’entre nous, le futur arrive souvent trop vite. Les croyances qui nous gouvernent doivent être constamment mises à jour et remises en question.
À cet égard, je vous propose ce mois-ci un article de Delphine Pramotton, associée principale au cabinet Pradel conseil.
Cet article a été publié le 9 avril dernier dans la Direction informatique et dépeint assez bien ce à quoi il faut s’attendre et c’est très probablement pour le mieux :
Bonne lecture!
Jean-Philippe Jacquet
ce qui est intéressant c’est qu’on ne sera plus distancé par la nouveauté, dans un monde parfait d’humanité, c’est super.
Mais laisser son pouvoir de choisir et entre les mains de qui nous veut du « bien » ou notre « bien » n’est-il pas déjà trop tard…
Bientôt on fera ou ne fera pas, mais on pourra nous imposer une décision…
Its back to the future all over again. Le modèle de l’infonuagique ressemble étrangement à l’informatique distribuée des années 1970. La puissance de calcul se déplace au niveau des serveurs, dont on devient de plus en plus dépendants pour les logiciels accessibles depuis un fureteur ou un téléphone intellitent. Cela veut dire que les mises à jour des logiciels sont effectuées au niveau des serveurs, sans que l’on puisse décider de conserver une ancienne version qui nous suffit. Cela veut dire aussi que le pouvoir se concentre de plus en plus entre les mains de ceux qui ont accès directement à ces serveurs qui concentrent la puissance de calcul et les données.
L’infonuagique n’est avantageux que pour les grandes entreprises – et, peut-être aussi les moyennes, dans certains cas – Je crois qu’il est toujours plus avantageux d’être propriétaire d’un bien plutôt que locataire, surtout si on n’a pas le choix des mises à jour.