Dans la seconde partie de cette série d’articles que vous retrouverez ici, nous avions appliqué les deux premiers niveaux de sécurité à votre compte Google, soit le mot de passe et le code par messagerie SMS.
Dans le présent opus, nous terminons les quatre niveaux en appliquant les deux derniers, soit le code de validation et la clé d’identification.
J’ai interrogé Microsoft Copilot sur certains aspects de la sécurité de gestionnaires de mots de passe de bonne réputation à l’aide de la fonction plus approfondie appelée Think Deeper, qui est gratuite. Je cherchais de l’information au sujet de RoboForm et 1Password.
Vous trouverez en prologue un résumé des méthodes que j’utilise afin d’assurer la sécurité de mes données de mots de passe. Je parlerai aussi de certains aspects précis de CoPilot Think Deeper, des logiciels de stockage en ligne et d’autres bonnes pratiques sécuritaires. En somme, cet article met pratique et théorie à votre portée. Vous noterez que parfois CoPilot et moi nous nous vouvoyons, mais nous nous tutoyons aussi.
Je conçois que tous les lecteurs du présent article ne soient pas tous au même niveau de connaissances informatiques. Cependant, je suis persuadé que tous peuvent assimiler ce savoir en petites bouchées adaptées à leur niveau. Simplement savoir que quelque chose existe est le début de la compréhension. Je pense que vous pourrez découvrir et apprendre beaucoup en poursuivant la lecture de ce texte.
Dans la première partie de cet article que vous retrouverez ici, nous avions appris les quatre niveaux de sécurité applicables à vos comptes en ligne. Dans le présent opus, nous verrons comment appliquer les deux premiers niveaux à votre compte Google.
Pour rappel, voici les quatre niveaux tels que présentés dans le précédent article :
Dernièrement, j’ai une amie qui a été victime d’une arnaque numérique. Nous avons passé plusieurs heures ensemble à travailler pour récupérer ses divers comptes courriels, bancaires et autres, afin de cesser ce piratage.
Cette expérience m’a donné l’idée d’écrire une série de quelques articles concernant la sécurité numérique afin de vous indiquer concrètement comment sécuriser au maximum vos divers comptes.
Dans cette première partie plus théorique, nous verrons les outils utilisés ainsi que les divers niveaux de sécurité que nous pouvons activer afin de sécuriser au maximum nos comptes numériques. J’utiliserai mon compte Gmail pour illustrer le propos sans entrer dans le détail, pour le moment.
Connaissez-vous la zone de sécurité de votre compte de messagerie ?
Il s’agit d’une zone très sécurisée de votre compte de messagerie dans laquelle vous devez entrer pour faire certaines actions sensibles comme :
changer votre mot de passe,
choisir un nouveau mot de passe si vous l’avez oublié,
récupérer un compte piraté,
prouver à votre fournisseur que vous n’êtes pas un pirate lorsque vous êtes à l’étranger.
Vous pouvez utiliser votre compte de messagerie durant des années sans avoir à entrer dans la zone de sécurité. Par contre, dans certaines circonstances, vous aurez à y pénétrer et, si vous ne savez pas le faire, vous pourriez perdre votre compte de messagerie.
Dans cet article, nous verrons les trois situations qui se présenteront à vous si vous tentez de pénétrer dans la zone de sécurité de votre compte.
Nous indiquerons aussi ce que vous devez impérativement faire pour vous assurer que vous pourrez entrer dans cette zone de votre compte si vous avez besoin de le faire.
Notez qu’il est important de faire ces actions maintenant et non d’attendre d’avoir besoin d’entrer dans la zone de sécurité parce qu’à ce moment il sera peut-être trop tard pour le faire.
Vous êtes invités à demeurer vigilants face aux fraudeurs qui redoublent d’ingéniosité pour vous soutirer de l’argent. Si vous avez un doute au sujet d’un appel, d’un courriel ou même d’un texto (SMS), ne cliquez pas sur le lien, la pièce jointe ou raccrochez, s’il s’agit d’un appel.
Sachez que les institutions bancaires et les compagnies émettrices de cartes de crédit ne vous solliciteront jamais de cette façon. Au mieux, vérifiez par vous-même à l’aide du numéro de téléphone donné sur le site officiel des émetteurs de vos cartes. Ceux-ci disposent tous d’un service de sécurité pouvant vous assister en cas de doute. Comme on dit, mieux vaut prévenir que guérir.
Cet article vous présentera une nouvelle approche utilisée par les bandits pour escroquer les personnes vulnérables ou non vigilantes.
VPN est un sigle anglais qui signifie Virtual Private Network. Un VPN crée pour vous un petit réseau privé qui vous isole partiellement de l’Internet. Le mot partiellement est très important et nous y reviendrons plus loin.
En français, on ne devrait pas utiliser le sigle VPN, mais on devrait plutôt utiliser le sigle RPV qui est l’abréviation de Réseau Privé Virtuel. Malheureusement, le sigle français est peu utilisé. C’est le sigle VPN qu’on retrouve dans la plupart des documents français sur le sujet. Je vais donc me piler sur le cœur et utiliser le sigle VPN dans cet article.
Par une publicité habile, les fournisseurs de VPN ont réussi à faire croire aux internautes que le VPN est un outil essentiel à leur sécurité. Les VPN sont d’autant plus tentants que la publicité laisse croire que vous n’avez pas à comprendre leur fonctionnement et que les VPN vous protègent à tout moment sans que vous n’ayez à faire aucun effort. Comme les cyberattaques se multiplient … et que, malheureusement les gens sont un peu naïfs, les ventes de VPN ont explosé au cours des dernières années.
Malheureusement, la publicité sur les VPN est trompeuse. Les VPN ne vous protègent pas des virus, de l’hameçonnage, des vols d’identité, des vols de mot de passe, de la publicité ciblée et de bien d’autres cochonneries d’Internet.