On entend souvent parler d’individus qui utilisent les réseaux sociaux pour intimider, harceler ou insulter d’autres gens. Certaines personnes se croient invulnérables parce qu’elles se cachent derrière l’anonymat d’Internet.
Contrairement à ce qu’elles peuvent penser, la navigation sur Internet laisse des traces que les autorités peuvent suivre.
« Dans tous les cas, l’anonymat total sur Internet n’existe pas, on ne peut que rendre plus difficile l’identification. » (source)
Un article paru sur le site de Protégez-vous explique les limites légales à respecter quand on s’exprime sur la toile. Vous pourrez le lire en cliquant ici.
« Finalement, il faut comprendre que publier un propos jugé diffamatoire peut avoir des répercussions non négligeables. » (source)
Denis Charron
Comment bâtir un Internet plus humain -> https://mastersofscale.com/caterina-fake-build-a-more-human-internet/
La colère est une émotion qui se propage, comme les autres. -> https://www.npr.org/sections/health-shots/2019/02/25/697052006/anger-can-be-contagious-heres-how-to-stop-the-spread
Les bulles de filtre (ou filter bubbles) sur les réseaux sociaux accentuent le phénomène -> https://www.raconteur.net/hr/social-media-biases
Il faut accepter de souffrir un peu pour ne pas faire souffrir indûment les autres. Cette règle n’est malheureusement pas suivie à grande échelle. Ce que l’on voit plutôt, ce sont par exemple des idéologies qui encouragent leurs adeptes à trouver des boucs émissaires au lieu de se demander ce qu’ils peuvent améliorer autour d’eux.