Aujourd’hui, trois sujets seront abordés dans cet article :

• quelques mythes déboulonnés ;
• les disparus de 2022 en informatique ;
• fin des abonnements gratuits chez Boxcryptor.

Quelques mythes déboulonnés

Il existe en informatique plusieurs affirmations que les gens croient vraies. Cet article du site Web de La Presse en présente quelques-unes et remet les pendules à l’heure.

• Pas besoin de payer cher pour un câble numérique – cela dépend du taux de transfert de l’information passant par le câble : uniquement la recharge d’un appareil, branchement à un moniteur externe par HDMI 1.4, 2.0 ou 2.1 (10, 18 ou 48 Gbit/s), périphériques externes par USB-C 3.1 ou 3.2 (5 ou 10 Gbit/s), USB 4.0 (40 Gbit/s), Thunderbolt 3 ou 4 (40 Gbit/s), etc.
• Si j’ai un Mac, je suis à l’abri des virus – les virus existent aussi sur les Mac.
• On ne peut vous repérer si vous désactivez le GPS de votre téléphone ou si vous le mettez en mode Avion – c’est faux.
• Les téléphones cellulaires font d’aussi bonnes photos que les appareils professionnels reflex – les appareils photographiques reflex ou hybrides permettent beaucoup plus de contrôle lors de la saisie des images que les téléphones intelligents.
• En mode Navigation privée, je ne laisse aucune trace – c’est faux.
• Charger fréquemment mon téléphone dégradera sa pile – le véritable ennemi, c’est la chaleur.
• Plus de RAM et de GHz dans un ordinateur sont synonymes de vitesse – ce n’est pas toujours vrai.

Les disparus de 2022 en informatique

De la naissance à la mort, le cycle de la vie existe aussi en informatique. Voici quelques disparus en 2022 selon cet article du site Web de Radio-Canada.

• Internet Explorer
• Google Hangouts
• Google Stadia
• L’iPhone mini
• Les téléphones BlackBerry
• Miniclip.com
• Overwatch

Fin des abonnements gratuits chez Boxcryptor

Je viens de recevoir un courriel de Boxcryptor m’avisant qu’ils ne renouvelleront pas mon abonnement personnel gratuit après le 31 janvier 2023. Ils m’avertissent de récupérer mes données cryptées avant cette date sous peine de ne plus pouvoir y accéder.

Denis Charron