L’Office national du film du Canada
Le coup de cœur de Francine Picard St-Denis
Je suis une heureuse retraitée de l’ONF depuis 10 ans déjà et je voudrais vous présenter aujourd’hui cette vénérable institution.
L’Office national du film (ONF) est une agence culturelle fédérale canadienne qui relève du Ministère du Patrimoine.
Depuis sa fondation en 1939, l’ONF a produit plus de 13 000 productions et gagné plus de 5000 récompenses, dont 12 Oscars, plus de 90 prix Génie et 4 prix Webby. On y invente IMAX, le cinéma direct et maintes techniques d’animation (grattage de pellicules, pixillation, écran d’épingles…). On y effectue également des recherches en imagerie informatique qui mèneront aux effets spéciaux de Softimage. En plus, l’ONF met le cinéma à la portée de tous grâce à des applications mobiles pour les plateformes iPhone, iPad et Android, ainsi que l’application préinstallée pour le nouveau PlayBook de BlackBerry.
Voici quelques sites qui pourraient vous intéresser.
- http://www.onf-nfb.gc.ca
Ce site est entièrement gratuit et vous y trouverez :
– le répertoire des films de l’ONF,
– la CinéRobothèque,
– la cyberboutique en ligne,
– des centaines de documentaires,
– des productions interactives,
– des films d’animation et de fiction, et
– des photos d’archives. - http://www.onf.ca/interactif/
Une collection vivante d’œuvres interactives d’auteurs dans l’esprit du documentaire, de la photographie et de l’art sonore. - http://fr.wikipedia.org/Office_national_du_film
Wikipédia sur le sujet de l’ONF. - https://plus.google.com/105847898847039311452#105847898847039311452/posts
Ce site vous permet de visionner ce petit bijou d’animation dans lequel le cinéaste Georges Schwizgebel évoque l’agitation des temps modernes sur la musique de Prokofieff. - Et finalement, un petit jeu interactif amusant pour les grands et petits enfants. Jouez avec votre souris, soyez patients et allez jusqu’au bout, il y a de belles surprises.
http://blabla.onf.ca/
J’espère que vous trouverez beaucoup de plaisir à naviguer sur ces différents sites de mon « alma mater ».
Francine Picard St-Denis