L’utilisation de l’informatique produit une quantité phénoménale de données qu’il faut conserver. Les nuages comme Google Drive, OneDrive obligent la création d’immenses centres de données où l’information est stockée sur des milliers de serveurs. Cela demande beaucoup d’espace et d’énergie pour en assurer le fonctionnement.
Mon intérêt pour la généalogie a débuté en 2013 lorsque je me suis inscrit au programme CARTaGENE.
« CARTaGENE est une plateforme publique de recherche du CHU Sainte-Justine visant à accélérer la recherche en santé. CARTaGENE est constituée à la fois d’échantillons biologiques et de données sur la santé et les habitudes de vie de 43 000 Québécoises et Québécois âgés entre 40 et 69 ans. » (source)
Pour participer à ce projet de recherche, il fallait fournir les noms de mes parents, grands-parents et arrière-grands-parents, ainsi que leurs dates de naissance et de décès. J’ai bien connu mes grands-parents maternels et paternels, mais c’était beaucoup moins évident pour mes arrière-grands-parents. J’ai dû fouiller dans des ressources en ligne de généalogie.