Cet article dresse tout d’abord un répertoire de 30 méthodes différentes pour vous frauder. Ensuite, il aborde brièvement l’empreinte carbone des courriels.
Chaque petit geste individuel compte pour contribuer à diminuer notre empreinte écologique numérique, comme le mentionnait cet article publié sur ce blogue le 13 mars 2020.
Quand la récupération des sources de chaleur produite par les serveurs informatiques s’ajoute à tous ces petits gestes individuels, l’effet de levier est alors très encourageant et cela donne beaucoup d’espoir pour l’atteinte des cibles de réduction de gaz à effet de serre.
Quatre exemples d’utilisation de la chaleur produite par les serveurs vous seront présentés dans cet article, de quoi rassurer vos coeurs souffrant peut-être d’écoanxiété.
Le numérique émet aujourd’hui 4 % des gaz à effet de serre du monde et sa consommation énergétique s’accroît de 9 % par an.
Pour une personne qui se soucie de son empreinte écologique ou de son empreinte carbonique, il est donc logique d’adopter des pratiques informatiques aussi sobres que faire se peut.
Impossible de se passer du web, moyen de communication et d’échange le plus efficace. Mais gardons à l’esprit que chaque « clic », « j’aime » et autres, laissent des empreintes carbones non négligeables, par exemple, deux requêtes sur Google = bouillir l’eau d’une bouilloire.