Tous les utilisateurs de Facebook reçoivent régulièrement, via des amis qui les partagent, des demandes pour « aimer et partager » certaines pages qui offrent des tirages de prix ou qui nous présentent des personnes malades, des enfants maltraités, des professeurs qui font une expérience pour leurs élèves et plein d’autres motifs. Ces envois jouent souvent sur nos émotions ou nos valeurs.
Il faut savoir que très souvent ces demandes sont envoyées par des fraudeurs.
Ils ramassent, sous de faux prétextes, des milliers de « j’aime ». Les fraudeurs, une fois qu’ils ont récolté un grand nombre de « like » effacent le sujet de leur nouvelle que vous avez aimé et partagé et conservent les milliers de « like » obtenus.
Ils vendent ensuite ces banques de « like » à d’autres personnes qui veulent créer un nouveau site Facebook et lui donner rapidement une grande crédibilité en ajoutant lors de la création du site des milliers de « like ». Tout ça pour faire croire aux gens qui visitent ce site qu’ils peuvent avoir confiance car des milliers de personnes aiment cette page.
Vous pouvez obtenir plus d’information sur ce sujet en cliquant ici.
Conclusion, il faut être très méfiant face à ces demandes « aimer et partager » car très souvent on fait le jeu des fraudeurs.
Denis Charron
Ça fait un bon moment qu’on en parle avec la nette, et très désagréable, impression de prêcher dans un désert! http://www.zonart.ca/verites-mensonges-medias-sociaux/
À chaque fois que je vois défiler sur mon mur Facebook ces sses images de pitié, avec la demande d’envoyer de l’argent, je rage et j’avertis mes contacts de ne pas se laisser attendrir par chaque photo de personne dans la misère. Après tout: qui nous dit que notre argent sera utilisé à des fins charitables? Je n’en reviens juste pas de voir les gens partagés ces légendes urbaines.
Je répète ici ce que j’ai toujours prêché: Le diable se sert de la pitié pour entrer dans la vie des gens vulnérables.
Même s’ils ne demandent pas d’argent ou qu’ils offrent de participer à un tirage, le résultat est souvent le même.