La légèreté de l’être
Ce titre m’a été inspiré par le roman de Milan Kundera, L’Insoutenable Légèreté de l’être. Mais rassurez-vous, je ne vous parlerai pas ici de relations amoureuses, ni de climats politiques particuliers.
Êtes-vous de ceux pour qui aider son prochain est naturel ou de ceux qui ont besoin de se rendre utiles à la société, à autrui?
Dans la normalité des choses, on aime aider ses enfants, sa famille, ses voisins. Même au travail, certains offrent leurs services de diverses façons, par exemple, en faisant partie d’un comité, d’un club social ou du syndicat afin d’aider ses compagnons et compagnes de travail. Se sentir utile en faisant quelque chose pour autrui est le principal moteur des bénévoles. Ils s’impliquent dans des domaines d’activité aussi divers que le sport, la culture ou les loisirs ou comme aidants naturels.
Francine Fortier en collaboration avec Danielle Bourque
Nous sommes en cette veille de la Saint-Valentin! Cette fête associée à l’amour est l’occasion pour offrir des chocolats, ou des fleurs, ou bien pour planifier quelques moments romantiques, ou un repas en tête-à-tête. Pour ceux qui vivent l’ avec un grand « A », celui qui donne des ailes, de tels moments sont privilégiés et il faut aussi en profiter chaque jour.
Notre première mission est d’offrir à nos membres un cadre pour le partage de connaissances et l’entraide en informatique. Notre principal outil pour le faire demeure les séances de présentations.
L’émission Les années lumière de Radio-Canada nous a présenté le 13 janvier dernier la dernière entrevue télé de Fernand Seguin, notre grand vulgarisateur national décédé en 1988.
On n’y porte pas attention. La chose peut nous arriver autant qu’aux autres. Si on s’y intéresse, on constate autour de soi des gens qui réduisent leur vie. La chose peut se produire sans raison apparente, mais elle survient souvent par suite d’un événement marquant comme un départ à la retraite, la perte d’un être cher (peu importe la façon), une maladie, un déménagement, etc.
Chaque année à l’approche de Noël, je constate combien le temps a passé vite depuis notre Journée portes ouvertes de septembre.
On dit que le temps passe plus vite à mesure qu’on vieillit. Il ne passe pas plus vite; il semble passer plus vite! Un mois dans la vie d’un enfant de 10 ans représente 0,83 % de sa vie. Un mois dans la vie d’une personne de 75 ans c’est 0,11 % de sa vie (7,5 fois moins évidemment). Cette différence expliquerait, du moins en partie, pourquoi le temps semble filer de plus en plus vite avec l’âge.
Le conseil d’administration du club s’est réuni les 5 juin et 7 août derniers.
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