Histoire du CIMBCC – 2 de 3

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Voici la deuxième partie de l’histoire du Club pour faire suite à la première partie publiée la semaine dernière.

Vous trouverez aussi une question à la fin de l’article. Une bonne réponse à cette question vous donnera une chance de participer au concours destiné à souligner le 40e anniversaire du Club. Les gagnants (un membre du Club et un non-membre) seront annoncés à la fin de l’assemblée générale annuelle du 18 octobre.

Bonne lecture !


Histoire du Club informatique Mont-Bruno

2e partie
 L’accueil des débutants

Jusqu’en 2006, les séances d’information du Club étaient peu accessibles aux débutants et aux personnes qui avaient suivi le cours d’initiation offert par le Club dans les bibliothèques. Plusieurs de ces personnes adhéraient au Club, mais elles se décourageaient après une ou deux séances et ne revenaient plus par la suite.

Pour corriger la situation, André Charest, Réjean Côté et Michel Gagné ont uni leurs efforts pour développer un programme d’accueil pour les débutants. D’une part, la durée des cours d’initiation offerts à la bibliothèque a été allongée de 4 à 18 heures, incluant 9 heures d’exercices supervisés. D’autre part, une série de 10 présentations sur les concepts de base de l’informatique et d’Internet a été ajoutée aux séances régulières du Club pour compléter la formation reçue à la bibliothèque. C’est ainsi qu’est apparue ce que nous appelons aujourd’hui la série Facile.

Une séance d’information a aussi été ajoutée le vendredi après-midi dans le but d’accueillir les gens préférant participer à des activités durant le jour. Jusque-là, toutes les séances hebdomadaires avaient eu lieu le mercredi soir.

Ces changements, combinés à la popularité croissante d’Internet, ont propulsé le nombre des membres du Club de 209 en 2006 à 547 en 2010. (Voir l’évolution du nombre des membres du Club)

La crise de croissance

L’augmentation du nombre des membres n’a pas été sans causer certains problèmes qui ont nécessité divers ajustements. Il a fallu, par exemple, informatiser le registre des membres pour en faciliter la gestion. Ce registre a pris la forme d’une base de données sous la responsabilité de Robert Paradis jusqu’en 2010. Albert Richard a commencé à y contribuer en 2007 avec Gérard Couture, puis il est devenu responsable du développement de cette base de données en 2010. Michel Paul lui a succédé en 2020.

Autre nécessité : se doter d’un système de trésorerie simple et efficace. C’est ce qu’a réalisé Geneviève Renaud, trésorière du Club de 2003 à 2005 et première femme présidente du Club en 1989-1990. Ce système de gestion financière est encore en vigueur en 2018.

De nouveaux bénévoles ont été recrutés pour animer les différentes activités du Club. L’énergie et les talents de ces nouveaux venus ont permis de donner du répit aux anciens bénévoles. Les idées des nouveaux bénévoles ont aussi permis d’améliorer les activités existantes et même d’en créer de nouvelles.

Ainsi, Jacques Laliberté a démarré un service d’assistance par courriel en mai 2007. Pour sa part, Gérard Couture a accepté la responsabilité des communications hebdomadaires destinées à informer les membres des activités de la prochaine semaine. Gérard envoyait sa communication le dimanche matin, alors les membres l’ont affectueusement surnommé le message dominical.

Ce qui avait été les SIG (Special Interest Group) dans les années 90, sont devenus les groupes d’intérêt au début des années 2000, puis les ateliers après 2010. Les principaux responsables en ont été Michel Paul, Robert Paradis, Roch Lafrance, André Charest et Berthe Demers. Ces activités de formation du Club ont pris une importance de plus en plus grande, passant de quelques SIG par année à plus de dix ateliers par saison.

Des sondages ont été effectués en 2005, 2008 et 2010 pour mieux connaître les besoins et les intérêts des membres. Ensuite, le conseil d’administration a décidé d’exploiter les possibilités offertes par Internet en lançant, au besoin, un sondage éclair à l’occasion de la publication d’un article du CHIP. Chaque sondage peut ainsi porter sur une question précise et les membres peuvent y répondre directement sur le site et, même, avoir un aperçu des réponses enregistrées.

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Le Chalet Marie-Victorin où le Club s’est réuni depuis 2008
Faits saillants des années 2010

Le Club comptait 550 membres en 2010. Une augmentation importante des adhésions a été observée au cours des années 2013 à 2017, avec un sommet de 804 membres en 2015-2016. Cette augmentation importante est sans doute due à la popularité des tablettes électroniques et au besoin de se familiariser avec le système d’exploitation Windows 10. L’engouement et l’insécurité suscités par la nouveauté s’étant estompés, le nombre des membres est revenu à près de 660 en 2019.

En janvier 2012, le bulletin électronique du Club s’est transformé en blogue. L’automne suivant, les visiteurs pouvaient enregistrer leurs commentaires sur les articles publiés par le CHIP.

Depuis 2013, la signature visuelle du Club a pris des allures professionnelles grâce aux talents artistiques et aux compétences en infographie de Marie-José Bâcle. Sa contribution bénévole s’étend au site Web et à tous les autres outils de communication et de promotion du Club.

En 2013-2014, le Club a commencé à proposer des séances d’information et des ateliers sur les tablettes électroniques en plus des séances et des ateliers sur les ordinateurs.

Depuis septembre 2014, l’inscription aux ateliers se fait par Internet, directement sur le site du Club.

Le site Web s’est aussi enrichi d’une section de TUTORIELS afin de rendre disponibles des tutoriels préparés par les bénévoles du Club sur des sujets d’intérêt général qui ont été traités ou non lors des séances de présentations. Cette section est inscrite sous l’onglet PARTAGE DE CONNAISSANCES.

Un onglet CRÉATION DES MEMBRES a aussi été ajouté à la page d’accueil afin de faire connaître diverses publications des membres du Club.

En 2014, un wiki a été ajouté au serveur du Club pour accueillir les procédures du Club et permettre aux bénévoles de les maintenir à jour dans un environnement collaboratif.

En 2018, le Club a fêté son 35e anniversaire ! Celui-ci a été souligné de diverses façons et les festivités ont culminé lors du souper de Noël de décembre 2018. La contribution exceptionnelle du Club à la communauté montarvilloise pendant toutes ces années a été reconnue par la Ville de Saint-Bruno-de-Montarville dont il a reçu la médaille d’or de l’Ordre du Mérite en avril 2019.

De 2011 à 2019, le statut de membre honoraire a été accordé à André Bergeron, au frère Oscar Bigras, à André Charest, à Roch Lafrance, à Robert Paradis, à Geneviève Renaud et à Albert Richard.

Au cas oû vous auriez manqué la première partie de l’histoire du CIMBCC, vous pouvez la lire en cliquant ici. La troisième et dernière partie de cette chronique historique sera présentée la semaine prochaine.


Les réponses à la question 2 en vue du tirage du 18 octobre 2023 seront admises jusqu’au 9 octobre 2023, exclusivement.

3 réflexions sur « Histoire du CIMBCC – 2 de 3 »

  1. Merci pour cet historique. Très intéressant et enrichissant d’en savoir sur le club et ses acteurs qui ne cessent de m’impressionner!

  2. J’ai très aimé cette partie 2 de l’histoire du CIMBCC ! Surtout lire en grand détail les accomplissements des 9 membres honoraires du Club !

    Selon moi, IL RESTE AU MOINS DEUX MEMBRES TRÈS ACTIFS À REMERCIER MAIS QUI SONT TROP HUMBLES, soit Réjean Côté et Michel Gagné ! Il y en a d’autres à qui je pense !

    40e anniversaire ou après, il devrait y avoir des articles régulièrement dans le CHIP sur les personnes méritantes et persévérantes.

    Je me souviens de Michel lorsqu’au départ il s’occupait seul de l’initiation à l’Internet à la bibliothèque de Saint-Bruno-de-Montarville. Ceci sans aucun titre officiel au CA. Il fut en tout temps le seul principal coordonnateur de cette activité à Saint-Bruno-de-Montarville et à St-Basile-le-Grand, du moins au départ !

    J’ai toujours admiré son patient apport systématique à améliorer et structurer des centaines de pages de Wikipédia.

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