La première partie de cette histoire des interfaces graphiques est disponible ici alors que la deuxième se retrouve ici.
Dans cette troisième et dernière partie, nous poursuivons notre récit vers d’autres interfaces graphiques ayant marqué l’histoire et l’évolution de l’informatique.
Bien que j’aie annoncé cette série d’articles en deux volets dans un article précédent, le contenu est si foisonnant qu’il m’a fallu le diviser en trois parties afin de couvrir le mieux possible la petite histoire des interfaces graphiques.
L’interface graphique, ou GUI de l’anglais Graphical User Interface, est un élément essentiel ayant mené à la démocratisation de l’informatique au grand public. Dans cette série de trois articles, je vous propose de visiter l’histoire de ces interfaces graphiques et leurs variantes.
Dans cette première partie, nous verrons la naissance de celles-ci ainsi que l’histoire quelque peu tumultueuse pour les deux principales interfaces graphiques chez Apple et Microsoft.
La plupart des utilisateurs d’ordinateur, tablette ou téléphone intelligent adoptent un navigateurInternet dès lors qu’ils acquièrent un appareil. Il s’agit généralement du premier logiciel que nous voulons utiliser une fois la connexion Internet établie.
Bien souvent, notre choix de navigateur se portera sur celui qui est fourni par défaut avec l’appareil à moins que nous ayons déjà une préférence et une expérience avec un précédent appareil. Dans ce cas, nous installerons notre navigateur préféré. Bien sûr, il faudra avoir créé un compte de connexion afin de retrouver nos personnalisations et nos sites favoris.
Le présent article a pour but de vous informer sur les qualités de différents navigateurs disponibles gratuitement sur le marché, de leur confidentialité, mais également de lister quelques avantages ou inconvénients d’un navigateur par rapport à un autre. Ou encore d’utiliser plus d’un navigateur Internet en fonction de vos besoins, bien sûr.
Il y a des traditions qui se perdent au fil du temps. Les « Easter Eggs », ou littéralement « cocos de Pâques », dans les logiciels en sont une en voie de disparition. Toutefois, ces derniers subsistent encore de nos jours.
Un easter egg, littéralement « œuf de Pâques », est un logiciel, une image ou un jeu caché dans un logiciel. La plupart du temps, celui-ci est ludique ou humoristique.
Vous en trouverez quelques-uns dans les prochains paragraphes.
Le 23 juin dernier, un article du CHIP vous faisait part de l’arrivée imminente de Windows 11. Cette version du système d’exploitation a effectivement été lancée le 24 juin 2021 par Microsoft. Elle n’est pas encore vraiment déployée et votre Club informatique vous recommande d’attendre avant de chercher à l’installer.
Des informations additionnelles vous seront données dans les sessions de l’automne 2021 du CIMBCC. Restez à l’écoute de ce site Web pour de plus amples informations.
Dans cet article, il sera question de :
la fin annoncée des mises à jour de sécurité pour Windows 10;
la présentation du nouveau Windows 11;
Windows 11 risque de ne pas être compatible avec les ordinateurs plus âgés;
Jeudi 24 juin 2021 à 11 heures, Microsoft devrait dévoiler la plus récente itération de son système d’exploitation, Windows 11. Une fuite d’information a permis d’entrevoir à la mi-juin l’apparence de cette nouvelle version. Il faudra toutefois attendre l’annonce officielle avant de confirmer les véritables changements par rapport à Windows 10.
Soyez assuré(e)s que votre Club informatique vous tiendra informé(e)s quant à l’impact de Windows 11 sur vos appareils actuels. Si ce n’est pas déjà le cas, veuillez considérer la possibilité de devenir membre du CIMBCC en cliquant sur le bouton jaune « Pour devenir membre du Club, cliquez ici. », à gauche sur la page d’accueil de ce site Web.
Cet article vous parlera brièvement de quelques nouveautés de Windows 11.
Il y a présentement un règlement de recours collectif pancanadien au sujet des anciens logiciels Microsoft, achetés avec licence, entre le 23 décembre 1998 et le 11 mars 2010 inclusivement.
Le recours indique que les consommateurs auraient payé trop cher pour ces produits. Le montant du remboursement varie entre 6,50$ et 13$ par logiciel. Aucune preuve d’achat n’est demandée, mais plusieurs questions posées sur le site demandent de l’honnêteté, par exemple, « à quelle date avez-vous acheté ce logiciel », et « à quel endroit ».